Depuis plusieurs mois, la ville de Boston (Massachusetts / États-Unis) travaille à sa candidature à l’organisation des Jeux Olympiques d’été de 2024.
Après la constitution d’une Commission Préparatoire et la mise en place d’un groupe de travail autour de personnalités locales, Boston 2024 pourrait à présent s’appuyer sur les territoires situés à la périphérie de la ville et notamment au Nord, afin d’affiner son projet.
De fait, comme l’a récemment indiqué le site du « Newburyportnews », une réflexion est actuellement menée quant à l’utilisation de certains sites implantés entre 40 et 70 kilomètres de Boston.
Ainsi, le triathlon pourrait être organisé sur les bords du Lake Cochichewick (B) tandis que les épreuves d’aviron pourraient se dérouler sur le rivière Merrimack (C).
En plus de ces épreuves, le Nord de Boston pourrait aussi héberger les compétitions équestres à Hamilton (D) et le beach-volley dans la station balnéaire de Salisbury (E).
Le Sénateur Kathleen O’Connor Ives (Démocrate) estime d’ailleurs que « les bords de la rivière Merrimack seraient propices pour les épreuves nautiques.
De plus, les épreuves équestres sont déjà très populaires dans toute la vallée aux alentours d’Hamilton, ce qui serait un plus pour les spectateurs ».
Pour le Sénateur Bruce Tarr (Républicain), « ce serait une erreur que de négliger notre territoire car nous avons beaucoup à offrir ».
D’autres épreuves pourraient aussi se dérouler dans la Tsongas Arena (F) d’une capacité de 6 500 places ou encore au cœur du Lawrences Veterans Memorial Stadium (G) qui dispose de 9 000 sièges.
Selon Joseph J. Bevilacqua, Président de la Chambre de Commerce de la Merrimack Valley, l’utilisation des installations « aurait un impact positif pour les industries du tourisme et de la restauration ».
Pour les partisans de la candidature olympique de Boston, l’objectif est clairement défini : parvenir à établir un projet territorial pour les trente à cinquante prochaines années.
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