Actrice majeure des sports d’hiver dans l’Hexagone, tant en ce qui concerne l’apprentissage que dans l’optique de compétitions, l’École du Ski Français (ESF) affiche aujourd’hui son soutien à l’égard de la candidature olympique et paralympique des Alpes françaises pour les Jeux de 2030.
Forte de plus de 17 000 moniteurs diplômés et présente sur le territoire au travers de 220 écoles de ski réparties dans les massifs tricolores, des Alpes aux Pyrénées, en passant par le Massif Central, le Jura, les Vosges et la Corse, l’ESF constitue une véritable institution au sein de l’écosystème français des sports d’hiver.
A ce titre, et à l’aune de son expérience acquise depuis sa création en 1945, l’École du Ski Français – plus grande structure de ce type au monde – a fait le choix de s’engager auprès des porteurs de la candidature aux JO 2030 développée autour des Régions Auvergne-Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
Ainsi que l’a fait savoir l’ESF :
Ces territoires disposent de nombreux atouts pour accueillir un événement d’une telle envergure : les espaces, les équipements, l’esprit sportif, des valeurs fortes de solidarité, de détermination et de partage, la pratique historique de disciplines olympiques et, bien sûr, des hommes et des femmes très attachés à leur environnement montagnard.
Ils affichent aussi leur volonté et ambition d’en faire les premiers JO d’hiver durables, des Jeux qui favorisent les transitions dans le monde de la montagne, des Jeux économes et des Jeux populaires.
Le positionnement de l’ESF survient au moment où la candidature des Alpes françaises s’apprête à dévoiler dans les semaines à venir les contours d’un projet – notamment la localisation prévisionnelle des sites – auprès de la Commission de Futur Hôte du Comité International Olympique (CIO).
Alors que la candidature est coordonnée depuis cet été par le Comité National Olympique et Sportif Français (CNOSF), avec l’appui du Comité Paralympique et Sportif Français (CPSF), cette déclaration de l’École du Ski Français intervient par ailleurs peu après la récente visite ce mois-ci d’une délégation des acteurs mobilisés au siège de l’institution olympique à Lausanne (Suisse).
