Il y a quelques jours, le Comité Préparatoire d’Oslo 2022 avait présenté un plan de régénération urbaine pour l’Est de la capitale norvégienne.
Cette semaine, les promoteurs de la candidature ont dévoilé quelques pistes afin de moderniser l’Ouest de la ville.
De fait, conformément au concept des « Jeux dans la ville » souhaité par Oslo 2022, plusieurs installations olympiques devraient être édifiées ou utilisées dans cette partie de la ville.
Misant sur son expérience passée, le quartier d’Holmenkollen – organisateur des épreuves de saut à ski en 1952 – sera ainsi au centre de toutes les attentions en cas de désignation d’Oslo comme Ville Hôte des Jeux, de même que les pistes de ski de Wyllerløypa.
Pour Eli Grimsby, directrice du Comité Préparatoire, « nous prévoyons de développer davantage ces quartiers, pour la pratique du snowboard, halfpipe ou des disciplines nordiques.
Les améliorations se traduiront notamment par un meilleur service de navettes, sûr, fiable et ponctuel, de même qu’une modernisation du réseau routier existant ».
D’ailleurs, concernant la problématique des transports, Oslo 2022 envisage une augmentation de la capacité du métro mais surtout, une profonde rénovation des lignes actuelles jugées « vieillissantes et usées ». Dès lors, un système automatique partiel devrait voir le jour dans le métro d’Oslo ainsi qu’une signalisation plus performante. Selon Oslo 2022, « les Jeux Olympiques contribueront à accélérer la mise en œuvre de ce chantier d’envergure ».
Les lignes de chemins de fer devraient en outre connaître une modernisation d’importance afin de répondre convenablement au flux accru de passagers durant les Jeux, et des pistes cyclables devraient émerger aux quatre coins de la ville pour faciliter les déplacements des cyclistes.
Pour le Comité Préparatoire, « Oslo est une ville qui connaît une croissance rapide.
Il est donc nécessaire de maintenir une bonne qualité des infrastructures routières et ferroviaires dans la ville.
La modernisation prévue avant les Jeux de 2022, contribuera à accroître la mobilité et la sécurité routière pour l’ensemble des habitants de la ville et ce, même après les JO ».
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