Trois ans avant l’ouverture des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de 2018, le Comité d’Organisation a dévoilé les noms des sites qui accueilleront les différentes épreuves sportives.
Le choix des noms – important du point de vue médiatique et linguistique – a été effectué en coopération avec les différentes parties prenantes au projet olympique de PyeongChang (Corée du Sud) et entériné ensuite avec le Comité International Olympique (CIO).
Dans un souci de lisibilité et de promotion internationale, PyeongChang 2018 a décidé de conserver le nom des stations de ski ainsi que celui des provinces qui hébergeront les compétitions.
Le Comité d’Organisation avait jusqu’à la fin de l’année 2016 pour présenter les noms officiels au CIO, mais force est de constater qu’il a préféré accélérer la démarche.
Cela peut s’expliquer de deux manières.
Avec des noms dévoilés trois ans avant l’échéance olympique, PyeongChang 2018 est en mesure d’assurer une promotion adéquate de ses sites. Mais surtout, en accélérant ainsi le processus de sélection, le Comité d’Organisation libère du temps et d’une certaine manière de l’énergie, pour se consacrer à la planification des Jeux et rattraper les nombreux retards constatés et pointés par le CIO, notamment en ce qui concerne le programme marketing des JO 2018.
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