Mardi 21 janvier, le Président du Comité International Olympique (CIO) se rendra à Brasilia, afin de rencontrer la Présidente Dilma Rousseff.
Priorité nationale au Brésil, les Jeux Olympiques représentent un défi immense pour le pays et ce, à deux ans de leur ouverture à Rio de Janeiro.
Des retards importants ont été constatés et des aléas sont survenus sur certains sites olympiques. De fait, rien ne garantit aujourd’hui la livraison en temps et en heure des premiers JO Sud-Américains.
Récemment, le nouveau coordinateur à la planification de l’événement, Fernando Azevedo Silva, a d’ailleurs reconnu que les délais étaient “très courts”.
Nul doute alors que Thomas Bach aura à cœur de rappeler les engagements brésiliens, en mettant une pression supplémentaire sur les autorités du pays pour une meilleure organisation des moyens d’ores et déjà déployés.
Les retards du chantier sur l’emplacement de l’immense Parc Olympique de Rio font craindre le pire à l’institution olympique.
Mais en attribuant les Jeux à l’Amérique du Sud, le CIO a ouvert une nouvelle ère pour les Jeux. Celle d’une véritable ouverture au monde mais aussi celle d’une possible insécurité logistique et organisationnelle.
Un choix risqué mais semble-t-il parfaitement assumé.
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