JO 2020 : Rome s’offre les services d’une société reconnue pour son savoir-faire en matière de promotion de candidatures olympiques

Le marketing et le lobbying ne font pas, à eux seuls, une élection mais ils contribuent grandement à la victoire finale.

Afin de se donner les meilleures chances dans le domaine de la communication internationale, le Comité de Candidature de Rome 2020 a décidé d’engager une société reconnue de consultants. Helios Partners a notamment contribué à faire gagner des candidatures comme celles de Pékin 2008, Vancouver 2010, Sotchi 2014 et plus récemment, PyeongChang 2018, démontrant ainsi son savoir-faire pour épauler des candidatures olympiques aussi bien pour les Jeux d’hiver que les Jeux d’été.

Basée à Atlanta – hôte des Jeux d’été 1996, Helios Partners a également travaillé pour le compte du Comité de Candidature de la Russie dans la course à l’organisation de la Coupe du Monde de Football 2018. Malgré des pronostics plus ou moins défavorables, le pays avait raflé la mise.

Lors de la conférence de presse qui a officialisé ce partenariat, Ernesto Albanese, Directeur Général du Comité de Candidature a déclaré que « l’objectif principal de Rome 2020 est de consolider et de soutenir le Mouvement Olympique et nous croyons que Helios Partners, du fait de sa profonde connaissance et expériences dans le domaine des candidatures, y compris celles des dernières années, pourrait apporter une valeur ajoutée à notre équipe. Helios Partners sera notre consultant principal dans la phase de soumission de notre candidature auprès de la famille olympique ainsi que pour la promotion et le développement de notre candidature jusqu’au jour de l’attribution des Jeux à Buenos Aires » en Septembre 2013.

Quelques jours avant cette conférence de presse, les principaux dirigeants du Comité de Candidature s’était rendus dans une caserne militaire afin d’évoquer le projet du Village Olympique qui pourrait être implanté à proximité.

Mario Pescante, Président du Comité de Candidature – et par ailleurs Vice-Président du Comité International Olympique (CIO) – a rappelé que Rome 2020 plaçait le développement durable parmi ses priorités.

Pour lui, « il n’y a pas besoin de construire des installations permanentes de grande envergure puisque 70% des infrastructures » nécessaires à l’organisation des Jeux « existent déjà et vont être modernisées ». Et d’avancer : « A la fin des Jeux Olympiques, Rome 2020 pourrait présenter le bilan financier le moins coûteux de l’Histoire ».

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