JO 2024 : Réunion entre le Président du Comité Olympique Italien et les représentants de Rome et de Milan, le 03 octobre

Contrainte d’abandonner la course aux JO 2020 en raison de la crise économique italienne, la ville de Rome sera certainement sur les rangs, pour l’échéance de 2024.

Néanmoins, deux concurrentes sérieuses pourraient se positionner face à elle : Milan et Venise. Cette dernière devrait reprendre les fondamentaux de sa candidature aux Jeux de 2020 tandis que la première misera sur l’effet « Exposition Universelle de 2015 » pour convaincre de sa capacité à accueillir l’événement olympique.

D’ailleurs, le 03 octobre prochain, le Président du Comité Olympique Italien (CONI), Giovanni Malago, rencontrera le Maire de Milan, Giuliano Pisapia ainsi que le Président de la Région de Lombardie, Roberto Maroni. Il devrait également s’entretenir avec le Maire de Rome, Ignazio Marino.

Cependant, l’absence de représentant du Latium inquiète l’ancien Maire de la capitale, Gianni Alemanno.

Ce dernier a ainsi estimé, via le réseau social Facebook, que cette situation constituait « un déséquilibre qui doit être corrigé avec la présence du Président de la Région du Latium.

Nous avons pleinement confiance dans la compétence de Giovanni Malago et sa capacité à aborder le sujet, mais nous pensons que tout le monde doit défendre, non seulement les intérêts de la ville, mais aussi les chances de succès de notre pays auprès du Comité International Olympique (CIO) ».

5 pensées

  1. A ce stade (et vu l’avance sur toute candidature !), ce n’est pas encore très grave de ne pas avoir beaucoup de représentants pour s’exprimer à un Comité national… Pour le moment il ne devrait s’agir que de discussion. Il faudra plusieurs mois pour qu’une ville prenne un sérieux avantage, même si les deux ont un poids certain et qu’il est difficile de bien les partager pour le moment.

    Ca me semble tout de même plus prometteur que Venise, qui aura beaucoup à faire pour convaincre d’abord Le CONI, et si tout marche pour elle le CIO… Mais Il est clair que l’Italie est dans la course, son désistement lui a peut être été bénéfique et lui a permis de réfléchir plus adéquatement (en tout cas pour Rome, puisque Milan joue sur d’autres tableaux).

    Je me demande quand les 2/3 potentielles villes françaises vont commencer leurs discussions et analyses (il en faudra pour voir lesquelles sont les plus adaptées, et ce sera un bon point de départ pour une réflexion)…

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