Dans la foulée de la Cérémonie d’allumage de la torche olympique des Jeux de Rio 2016 sur le site antique d’Olympie (Grèce), les organisateurs de l’événement sportif estival ont mis en ligne les comptes Twitter de la flamme olympique, où plus précisément ceux du relais de la flamme olympique.

Tout au long du parcours de plus de 20 000 kilomètres – et quelques 16 000 kilomètres dans les airs ou sous les eaux – les comptes “Olympic Flame” (version anglaise) et “Chama Olímpica” (version portugaise) suivront les 12 000 porteurs de la torche et commenteront la traversée des centaines de villes brésiliennes inscrite au programme à compter du 03 mai.
Mais avant cela, et surtout avant d’arriver jusqu’au stade Maracanã de Rio de Janeiro, le 05 août prochain, la torche olympique traversera la Grèce puis se rendra en Suisse, à Lausanne, au siège du CIO.
Pour l’heure, @OlympicFlame comptabilise quelques 7 222 “followers”. Quant à @ChamaOlimpica, 849 internautes se sont pour le moment abonnés aux publications. Mais nul doute que ces chiffres progresseront à mesure que le relais se poursuivra.

Les candidatures à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques ont, depuis quelques années maintenant, assuré une présence visible et régulière sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter et parfois Instagram).
Cette arrivée sur ces nouveaux moyens de communication ne doit rien au hasard. Suivant l’évolution technologique, les candidatures aux JO et désormais les Comités d’Organisation sont en effet soucieux d’attirer toujours plus de monde, à commencer par les jeunes.
Le Comité International Olympique (CIO) s’est également résolu à modifier sa communication, avec notamment une page Facebook consacrée aux Jeux Olympiques (10,7 millions de “fans”), ainsi qu’avec l’ouverture des Jeux à de nouvelles disciplines très populaires parmi la jeune génération.
Car ne l’oublions pas, au-delà du sport, l’événement olympique est aussi une véritable machine commerciale et une vitrine pour de nombreuses marques. La communication sur les réseaux sociaux est donc d’une importance capitale pour l’instance olympique de Lausanne qui n’a jamais signé autant de contrats que l’année passée.