JO 2022 : Le Président de la Fédération Internationale de Ski se prononce en faveur d’Oslo

C’est un soutien qui arrive au bon moment pour Oslo (Norvège).

A deux mois jour pour jour du dépôt officiel des candidatures à l’organisation des Jeux d’hiver de 2022, le Président de la Fédération Internationale de Ski, Gianfranco Kasper, a estimé qu’Oslo « serait le candidat le plus fort ».

Selon lui, « il n’y a qu’à penser au tremplin de saut à ski d’Holmenkollen, au pied duquel peuvent se masser 120 000 spectateurs » pour imaginer la qualité et la solidité de l’organisation norvégienne.

Tremplin de saut à ski - Holmenkollen - Oslo 1952

Interviewé par le quotidien allemand « Süddeutsche Zeitung », Gianfranco Kasper pense également que le succès des Jeux de Lillehammer 1994 sera un atout pour la candidature d’Oslo.

Pour le dirigeant de la FIS, « la magie des Jeux de 1994 est toujours aussi forte et offre encore beaucoup de bons souvenirs ».

Illustration : Crédits – Oslo 2022
– Vue du tremplin de saut à ski de Holmenkollen lors des Jeux d’hiver de 1952

7 pensées

  1. Ce serait un beau projet en effet, et en plus cohérent sur le long terme, grâce au JOJ de 2016 qui se tiendront à Lillehammer, la Norvège pourra se targuer d’être dans une logique de prévision du sport sur plusieurs années, c’est très bon ! Peut-être qu’une ville européenne va ENFIN déposer son dossier de candidature …

    1. Je pense de toute façon, que les JO 2022 iront à une ville européenne : Oslo, Barcelone, Munich, Cracovie, Kiev ont d’ores et déjà annoncé leur intérêt pour la compétition 🙂

      L’Asie est hors-course depuis la désignation de PyeongChang 2018 et les Etats-Unis préfèrent miser sur les Jeux d’été 2024 et d’hiver 2026.

      1. Ce qui est bien dommage pour Amalty. C’était déjà osé de candidater après Pyeongchang, encore plus après le doublé Corée-Japon.
        Malgré tout, aucune ville n’a encore posé de candidature en Europe, difficile de savoir qui est toujours intéressé… En espérant qu’il y ait plusieurs concurrentes !

      2. Oslo le sera. Après, Barcelone pourrait se lancer. Quant à Munich, l’élection de Thomas Bach à la tête du CIO rebat les cartes et pourrait pénaliser l’Allemagne à court terme.

        Le CIO ne « donnera » pas deux fois à un même pays, l’occasion de briller sur l’échiquier olympique…

  2. Ce qui est bien dommage pour Amalty. C’était déjà osé de candidater après Pyeongchang, encore plus après le doublé Corée-Japon.
    Malgré tout, aucune ville n’a encore posé de candidature en Europe, difficile de savoir qui est toujours intéressé… En espérant qu’il y ait plusieurs concurrentes !

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