Face à une opposition qui se mobilise jour après jour et compte tenu de l’importance de l’élément populaire dans toute candidature aux Jeux Olympiques et Paralympiques, Boston 2024 a décidé de lancer une vaste campagne promotionnelle à destination de la population locale.
Ainsi, la principale ville du Massachusetts souhaite intégrer les citoyens à la conception, à la réalisation et à la promotion de son projet pour l’organisation des JO d’été de 2024.
Pour se faire, après avoir publié un clip promotionnel, le Comité de Candidature – sur le modèle de celui de Washington District of Columbia – a choisi le hashtag #ItsThePeople pour attirer les personnes désireuses de s’impliquer dans le projet olympique.
« Qu’est-ce qui caractérise et donne le rythme cardiaque de Boston, sa vie et son identité ? C’est le peuple.
La réflexion et le pragmatisme du peuple rendent notre ville grande.
Cette semaine, Boston 2024 a présenté le rythme cardiaque de Boston en photographiant plusieurs partisans à travers la ville ! »
Cette opération de communication devrait se répéter au fil des semaines, à l’image de ce qui a déjà été réalisé lors des derniers grands événements sportifs organisés dans la ville.
Le Maire Marty Walsh, le Gouverneur de l’Etat du Massachusetts, Deval Patrick, l’ex-candidat à la Présidentielle 2012 et ancien Gouverneur, Mitt Romney, mais aussi plusieurs élus locaux se sont positionnés en faveur de la candidature olympique de la ville.
Le milieu universitaire est également particulièrement mobilisé.
Outre l’incorporation des installations sportives des établissements universitaires de Boston au projet, les responsables de ces structures affichent leur appui au concept développé par Boston 2024.
Ainsi, le Comité de Candidature compte en son sein, plusieurs représentants des collèges et universités de la région : Gloria Larson, Présidente de la Bentley University, Katie Lapp, Vice-présidente exécutive de Harvard University, Israel Ruiz, Vice-président exécutif du Massachusetts Institute of Technology (MIT) mais encore Robert Caret, Président de University of Massachusetts.
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