La Ville de Lausanne valide la construction de la Maison Olympique, futur siège du CIO

Célébrant le centenaire de son installation à Lausanne (Suisse), le Comité International Olympique (CIO) va prochainement s’établir au sein d’un nouveau complexe. Ainsi, afin de remplacer les bâtiments actuels et dans un souci de confort pour les centaines d’employés de l’institution, un nouveau siège sera aménagé près du Château de Vidy.

Visuel de la future Maison Olympique, avec sur le côté gauche, le Château de Vidy où travaille le Président du CIO (Crédits - CIO / 3XN)
Visuel de la future Maison Olympique, avec sur le côté gauche, le Château de Vidy où travaille le Président du CIO (Crédits – CIO / 3XN)

Ce mardi soir, une étape décisive a d’ailleurs été franchie, puisque les élus municipaux de Lausanne ont validé la construction de ce futur bâtiment de 18 000 m².

Pour permettre cet aménagement d’envergure, les installations existantes devront être démolies – autrement dit le siège datant de 1986 et l’extension de celui-ci datant de 2008 – et les terrains dépollués. Les architectes du Cabinet 3XN et les ouvriers prendront ensuite le relais pour concevoir le siège de l’institution olympique d’ici 2020.

Visuel de la future Maison Olympique (Crédits - CIO / 3XN)
Visuel de la future Maison Olympique (Crédits – CIO / 3XN)

Pour l’heure, les travaux d’aménagement de la Maison Olympique sont estimés à 160 millions de francs suisses, soit 147,35 millions d’euros.

Avec la construction du nouveau siège, le CIO entend réaliser des économies sur le plan du loyer et de la consommation énergétique. Surtout, cela permettra de rassembler sur un seul site pas moins de 600 employés et de disposer de deux pôles majeurs, à savoir la Maison Olympique à Vidy, et le Musée Olympique non loin de là, à Ouchy.

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2 pensées

  1. Je ne sais si je frappe à la bonne porte… Mais je tenais à faire part de ma totale désapprobation quant aux mesures de rétorsion prises à l’encontre des athlètes russes. Cette mesure aurait été compréhensible si des pays comme la Bulgarie et le Kenya avait été frappés des mêmes sanctions, accusés, eux aussi, de dopage. Pourquoi deux poids deux mesures ? J’ai mon idée à ce sujet : les Russes étant de trés haut niveau sportif, auraient certainement, comme bien souvent, porté ombrage aux médailles de 2ème et 3ème niveau remportées par d’autres pays. C’est, de la part du CIO, faire montre d’un manque d’élégance er d’esprit sportif pitoyables.

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