Comme lors de chaque session olympique, les défenseurs de l’environnement compte bien se faire entendre de la part du Comité International Olympique (CIO).
Au moment de la campagne de promotion des Villes Candidates pour les JO d’hiver 2018, une coalition rassemblant des défenseurs de la faune et de la flore et des agriculteurs locaux, avait ainsi déstabilisé et même fragilisé la candidature de Munich (Allemagne) au sujet du projet d’aménagement du site de Garmish-Partenkirchen. A la suite de cette contestation, un référendum local avait été organisé et avait finalement conforté la position des promoteurs de la candidature olympique allemande.
Aujourd’hui, des militants écologistes protestent contre la politique menée en matière de pêche, par le Japon.
De fait, ils demandent au CIO de considérer la candidature de Tokyo, au regard des agissements de l’Empire du soleil levant, en ce qui concerne la pêche aux dauphins dans la région de Taiji.
« Depuis 2009, il y a une levée de boucliers dans le monde entier pour condamner cette chasse barbare. Or, en 2013, le Japon continue de refuser d’abandonner et de mettre fin à ce massacre annuel. Le CIO ne peut ignorer cela ».